Les jeunes bûcherons, enfants de cette rive,
Sur le fleuve riant lancent la barque oisive,
Qui vogue, sans péril, sous un azur serein ;
Leurs pures voix, échos fraternels de leurs âmes,
Chantent, s'accompagnant du murmure des rames,
L'hymne de la jeunesse au vieux châteaux du Rhin.