Agréable non-rencontre avec l’acteur flamand pataud comme un nounours fatigué et poétique dans ses expressions remixées.
Ala fin de la rencontre, on avoue : «C’est une interview complètement ratée, désastreuse. Il n’y a rien à en tirer.» L’acteur, gentiment, rectifie : «Lynchéenne, plutôt.» Puis nous étreint. Matthias Schoenaerts est pour de vrai sympathique. Que s’est-il passé pour que les coutures craquent et qu’on se permette d’être complètement défiltrée ? Qu’est-ce qui clochait, à part, évidemment, soi? Qu’est-ce qui fait qu’à un moment, l’échange promotionnel explose, et qu’avec un soupçon d’empathie mais aussi parce qu’on est dans le même bateau, on soit deux à ne plus jouer le jeu ? Et qu’on saisisse que la vedette n’en peut plus d’être dans son rôle de vedette, de répondre aux mêmes questions, en toutes langues, sur ses parents, ses amours, ses personnages, ses chats, ses plantes vertes, la musique qu’il écoute. D’être enchaîné plusieurs semaines, voire plusieurs mois d’affilée dans des palaces interchangeables, avec les mêmes enseignes de luxe dès qu’il sort dans la rue, les mêmes Mercedes noires qui attendent de le conduire aux mêmes avant-premières, comme s’il y avait le choix - «On y va quand tu veux Matthias, il ne faut pas être en retard» -, et de toutes les personnes qui détiennent les clefs de son emploi du temps.
«On ne va pas se plaindre», dit l’acteur, comme s’il lisait dans nos pensées. Il a l’air exténué. On ne lui dit pas d’aller dormir, de sécher cette avant-première, de s’enfuir. Il est l’acteur nounours, dont la Terre entière est amoureuse, mais ce qui frappe, c’est qu’il pourrait cependant, en tout anonymat, prendre l’air, vagabonder, sans être importuné.
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Agréable non-rencontre avec l’acteur flamand pataud comme un nounours fatigué et poétique dans ses expressions remixées.Ala fin de la rencontre, on avoue : «C’est une interview complètement ratée, désastreuse. Il n’y a rien à en tirer.» L’acteur, gentiment, rectifie : «Lynchéenne, plutôt.» Puis nous étreint. Matthias Schoenaerts est pour de vrai sympathique. Que s’est-il passé pour que les coutures craquent et qu’on se permette d’être complètement défiltrée ? Qu’est-ce qui clochait, à part, évidemment, soi? Qu’est-ce qui fait qu’à un moment, l’échange promotionnel explose, et qu’avec un soupçon d’empathie mais aussi parce qu’on est dans le même bateau, on soit deux à ne plus jouer le jeu ? Et qu’on saisisse que la vedette n’en peut plus d’être dans son rôle de vedette, de répondre aux mêmes questions, en toutes langues, sur ses parents, ses amours, ses personnages, ses chats, ses plantes vertes, la musique qu’il écoute. D’être enchaîné plusieurs semaines, voire plusieurs mois d’affilée dans des palaces interchangeables, avec les mêmes enseignes de luxe dès qu’il sort dans la rue, les mêmes Mercedes noires qui attendent de le conduire aux mêmes avant-premières, comme s’il y avait le choix - «On y va quand tu veux Matthias, il ne faut pas être en retard» -, et de toutes les personnes qui détiennent les clefs de son emploi du temps.彼は我々 の考えを読んでいたかのよう、俳優は言った「それは文句を言わない、」。彼は疲れて見えます。スリープ状態に、逃げるように、このプレビューを乾燥するために行かないようにと言った。俳優テディそれ、全体の地球は、愛が、かかる場合がありますただし、合計匿名で、ワンダ、空気に残されることがなく、何が当たるだけで。
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